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L’héroïsme invisible des mamans solos

  • Photo du rédacteur: Dominique Bergiers
    Dominique Bergiers
  • 27 avr.
  • 2 min de lecture

Être une maman solo, c’est une force silencieuse.


C’est se réveiller chaque matin en sachant que tout repose sur toi.

Les bons jours.

Les mauvais.

Et tout ce qu’il y a entre les deux.


C’est être là.

À chaque entraînement,

chaque goûter d’anniversaire,

chaque chagrin.


C’est être au bord du terrain,

donner de la voix,

crier plus fort que tout le monde,

même quand t’en as gros sur le cœur.


C’est fêter leurs victoires comme si c’était les tiennes.

Essuyer leurs larmes après une défaite.

Les rebooster pour la prochaine bataille.

Pendant que tu caches tes propres blessures.


C’est rester là,

toujours debout,

sans broncher.

Accueillir toute la vague de leurs émotions.

Leurs joies.

Leurs colères.

Leur rage.

Leurs frustrations.

Leurs silences.


C’est être celle qu’ils repoussent quand ils ont mal,

parce que toi, t’es la seule qui est là.

Celle qui voit leur douleur à vif, sans filtre.

Celle qui encaisse les portes qui claquent,

les silences,

les soupirs.


Tu sais que c’est pas vraiment contre toi.

Tu sais que c’est aussi ça, l’amour inconditionnel.


Mais putain, parfois ça fait mal.

Parfois, c’est un poids que t’as du mal à porter.

Parfois, c’est tellement lourd que t’arrives plus à respirer.


Et pourtant, tu te relèves.

Tu prépares les sacs.

Tu les emmènes au match.

Tu cries leur nom depuis les gradins.

Tu les serres dans tes bras,

même quand ils t’envoient bouler.


Tu recommences.

Encore et encore.

Sans jamais te poser de questions.

Et tu le referais,

sans hésiter,

une fois, dix fois, mille fois.


Mais ça veut pas dire que c’est facile.

Certains jours, purée, c’est dur.

Certains jours, cette solitude, te fait plier.

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